Boston Marathon 2013 : sur le chemin pour Hopkington - le plus dur est fait
Ça y est, à une semaine de mon deuxième marathon de Boston et après des mois d'entraînement il est temps de clôturer ce deuxième chapitre (le premier étant la qualification). Un moment de réflection et d'analyse s'impose avant de passer à la troisième étape (cad la course en elle même, lundi prochain).
Voici le résumé du temps en minutes passé par activité et par allure de course ainsi que le kilométrage parcouru par semaine depuis début janvier.
Exercice complexe d'optimisation sous contrainte puisque j'ai du prendre en compte la relative faiblesse de ma cheville gauche qui n'avait pas encore complètement récupéré après une entorse survenue l'été dernier. J'ai aussi du gérer une météo bien hivernale qui a entraîne des nombreuses fermetures du Parc rendant les sorties longues en semaine bien pénible. Le froid en général a eu un impact sur l'implémentation de mes séances puisque le vélo devient franchement pénible au bout d'une heure et demie quand il fait à peine 3°C, humide avec du vent et les sorties longues solitaires forgent forcement le mental dans ces conditions.
En moyenne 85km/semaine en cinq séances dont au moins deux de qualité, pas mal de vélo, un peu de ski de fond, bcp de PPG et d'éducatifs pour arriver à environ 12 heures hebdomadaires. Et tout cela sans se blesser, malgré le froid. Exercice réussi !
Le chrono lundi prochain dépendra davantage de la météo capricieuse et surtout de la direction du vent que de ma forme du jour et pour moi la course (et surtout le marathon de Boston étant donné la difficulté de la qualification) reste une étape bien distincte de l'entraînement : c'est en quelque sorte le tour d'honneur/the victory lap. En tout cas je suis je suis prête à aller chercher cette licorne furtive, le symbole du marathon de Boston.